Mon arbre généalogique

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Arbre généalogique

1. d'Angerville, Richard [I51242]
   1. de Trousseauville, Olive [I37790]
      1. d'Angerville, Marie
         1. d'Espinay, Guillaume [I49439]
            1. d'Espinay, Gui [I42521]
            2. des Hayes, Olive [I46792]

Ascendants

Références des sources

1. Histoire Généalogique et Héraldique des Pairs de France, des grands dignitaires de la Couronne, des principales familles nobles du Royaume, et des maisons princières de l'Europe, 20 volumes [S00014]
   1. • Page: 11: 304-311
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      • Texte source:

        Guillaume d'Espinay, I" du nom, écuyer, seigneur des Hayes, puis en 1209, d'une partie de la paroisse d'Espinay que lui céda Robert d'Espinay. Il avait épousé
        î* vers l'an 1170, Agnès de Bremont;
        2° Mathilde des Mares.
        Ces deux mariages sont justifiés par des actes de partage dont nous allons parler , et par une ancienne généalogie produite, le 24 septembre 1540, par Louis d'Espinay, chevalier, seigneur du Bosgueroult, devant les commissaires départis par le Roi pour la vérification des titres de noblesse.

      • Recherche:

        Adam, seigneur d'Espinay et des Hayes, chevalier, vivant au milieu du 12e siècle , et Gérard d'Espinay, sont les auteurs des premières branches connues de cette illustre maison. Des mémoires portent qu'il épousa Alix, dame des Hayes , héritière de sa maison, et qu'il fit son testament en 1200. On juge par le rapport des temps et l'identité des possessions qu'Adam d Espinay a été père de deux fils qui lui ont succédé, savoir : Robert, seigneur de la paroisse de Saint-Martin d'Espinay, qui vendit, en 1209, la portion qu'il avait dans cette terre à Guillaume d'Espinay, son frère.

        D'après les Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de France, il fit un testament prévoyant l'obligation pour ses héritiers d'ajouter le nom de des Hayes, et de porter leurs armes.

      • Texte source:

        Richard d'Espinay, chevalier, obtint, dans le partage qu'il fit avec Regnaud, son frère aîné, en 1219, le fief de Saint-Victor, avec ses dépendances. Regnaud se réserva le fief d'Espinay avec l'habitation des Hayes, ainsi que les dépendances dudit fief qui avaient appartenu à feu Agnès de Bremont, sa mère. Richard d'Espinay porta les armes sous les rois Philippe Auguste, Louis VIII et Louis IX. Il se trouve compris, pour les fiefs qu'il possédait dans la mouvance du Roi, ainsi que Guillaume d'Espinay, son père, dans les registres de la chambre des comptes de 1209 à 1227. Richard d'Espinay est qualifié chevalier dans l'acte d'une vente qu'il fit au mois d'octobre 1227, à Raoul des Hayes, son neveu , d'une pièce de terre que Mathilde des Mares, mère de Richard , avait eue en paiement de sa dot, terre située dans la paroisse de Saint-Martin d'Espinay.

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        Guillaume d'Espinay , dit des Hayes , IVe du nom , chevalier, seigneur d'Espinay et des Hayes, servit sous le règne du roi Charles VI. Ayant acheté à vie des héritages de Thomas Auber, de la paroisse de Saint Denis de Ducher, ces biens, qui avaient été placés sur sa tête et sur celle de Geoffroi des Hayes, son fils , lui furent cédés à perpétuité par acte du 18 avril 1387 (v. st.). Le 12 septembre 1393, il obtint, aux plaids de la vicomté de Caudebec, une sentence contre des particuliers qui lui devaient 8 années d'arrérages de rentes foncières situées dans la paroisse de Rouville. Guillaume d'Espinay ne vivait plus le 7 mai 1401. Il avait épousé , vers l'an 1380, Guillemine De Maussigny, sœur de Philippe de Maussigny, mariée, le 26 janvier 1376 ( v. st.), avec Etienne de Dreux, surnommé Gauvain, seigneur de Reausart et de Sénonches. (Histoire de la maison de Harcourt, par la Roque, t. II, liv. xi, p. 1310.)

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      • Texte source:

        Guillaume Des Hayes, Ve du nom, écuyer, seigneur du fief d'Espinay, du Bosguéroult, de Trubleville, des Vieux, des Hayes, de Ligneris , du fief de Leau, de Saint-Paer , de Mézières, etc., capitaine ( gouverneur ) des villes et château d'Arques , servit sous le règne de Louis XI, el comparut au nombre des hommes d'armes de la vicomté de Caudebec, ayant un page pour porter sa lance et trois chevaux, à la montre faite le 31 décembre 1470, par Antoine d'Aubusson, chevalier, seigneur du Monteil, conseiller et chambellan du Roi et bailli de Caux. {Traité du ban et arrière-ban, p. 113.) On conserve aux archives de la famille 27 actes de baux à fief et d'inféodations par lui consentis depuis le 7 octobre 1450 jusqu'au 10 août 1496, cinquante-cinq actes de foi et hommages, aveux et dénombrements de ses vassaux depuis le 21 juin 1457 jusqu'au 14 mai 1498, et 22 actes d'acquisitions de biens-fonds depuis le 7 janvier 1460 (v. st.) jusqu'au 25 février i4g4 {v. st.). Le 6 février 1497 {v. st.) il fit son testament écrit par Martin Douyère, vicaire et chapelain de la paroisse des Vieux et dont il confia l'exécution à sa femme et à Richard de Beaunay, écuyer, seigneur du Tôt. Ce testament fut approuvé après sa mère par l'official de Rouen le 6 juin 1498. Il avait épousé
        i° peu avant le 19 mars 1451 (v. st.) Marie d'Angerville , fille de Richard d'Angerville, écuyer, seigneur de Grainville, et d Olive de Trousseauville ;
        2° par contrat du 23 novembre 1470, Alix de Courcy , dame de Mézières et de Saudrencourt, au Vexin français , fille de Richard de Courcy, seigneur du Plessis et de Roye, et de Marie de Lyon. Alix de Courcy acquit pour son fils les terres de Saint-Luc et de la Charmoye en i499, et vivait encore le 4 décembre 1512 , date d'une acquisition qu'elle fit de Jean Douyère, de biens-fonds situés dans la paroisse d'Espinay.

2. Le Grand Dictionnaire Historique ou le Mélange Curieux de l'histoire Sacrée et Profane [S00074]
   1. • Page: tome 4, page 216