du Bec de Boury, Françoise 1a 2a 3a 4a 4b 5a 5b

Nom de naissance du Bec de Boury, Françoise
ID Gramps I56473
Genre féminin

Événements

Événement Date Lieu Description Notes Sources
Naissance vers 1498    
 

Parents

Relation avec la souche Nom Relation dans la famille (si différent de la naissance)
Père du Bec, Jean [I45691]
Mère de Roncherolles, Marguerite [I42993]
         du Bec de Boury, Françoise [I56473]

Familles

    Famille de de Fouilleuse, Jacques et du Bec de Boury, Françoise [F07906]
Mariés Mari de Fouilleuse, Jacques [I39828]
   
Événement Date Lieu Description Notes Sources
Mariage vers 24/11/1518    
Général

mariage ratifié le 24/11/1518

4a 3a
  Enfants
  1. de Fouilleuse de Flavacourt, Claude [I50467]
  2. de Fouilleuse, Marguerite [I61251]
  3. de Fouilleuse, Charles [I38742]

Media

Attributs

Type Valeur Notes Sources
_UID 588003C185464652A1ACA09371FDD25D1CEA
 

Arbre généalogique

  1. du Bec, Jean [I45691]
    1. de Roncherolles, Marguerite [I42993]
      1. du Bec de Boury, Françoise
        1. de Fouilleuse, Jacques [I39828]
          1. de Fouilleuse de Flavacourt, Claude [I50467]
          2. de Fouilleuse, Marguerite [I61251]
          3. de Fouilleuse, Charles [I38742]

Ascendants

Références des sources

  1. Archives Généalogiques et Historiques de la Noblesse de France, ou recueil de preuves, notices, mémoires, plusieurs volumes [S00016]
      • Page: 11: chap. de Gaudechart, page 146 et suivantes du pdf
      • Niveau de confiance: Très haut
      • Archives genealogiques et historiques de la noblesse de France t11
      • Recherche:

        numéro de page du document pdf

      • Texte source:

        Philippe De Gaudechart, IIe du nom, écuyer, seigneur de Gaudechart, de Bachivilliers, du Fayel, de Villotran, de Mesanguy et de Dargies en partie, fut émancipé à l'âgede 13 ans par son père le 17 juillet 1533. Il épousa, par contrat du 18février 1538, reçu par Bonnet et Deschamps, notaires, damoiselle Claude De Fouilleuse. fille de nobles personnes Jacques de Fouilleuse, écuyer, seigneur de Flavacourt, de Montaigny, de Bayencourt, etc., et de damoiselle Françoise du Bec de Boury, tante de Philippe du Bec de Vardes, archevêque-duc de Reims, pair de France, commandeur du Saint-Esprit. Philippe de Gaudechart rendit aveu pour la terre de Bachivilliers à M. de Montmorency, seigneur de l'Isle-Adam, le 30 août 1550. Le 18 novembre de l'année suivante, Philippe de Gaudechart, qualifié seigneur du Fayel, de Bachivilliers, de Mesanguy et en partie de Dargies, fournit au chapitre de Beauvais un dénombrement scellé de son sceau, représentant un écu chargé de 9 merlettes. (Manuscrit de Nully, chanoine de Beauvais) Le 23 août 1553, il obtint au siège présidial de Senlis une sentence pour faire assigner les héritiers apparents d'Antoinette de Chaumont, son aïeule, remariée à Denis Boucher, à l'effet de faire visiter et réparer les édifices de l'hôtel seigneurial du Fayel, dont cette dame avait été usufruitière. (Archives de Sainl-Rimault. ) Philippe de Gaudechart est nommé, le 13 juin 1557,dans un acte passé devant son bailli de Villotran. En la même année, il comparut à l'arrière-ban d'Amiens pour ses fiefs de Gaudechart et de Dargies. (Nobiliaire de Picardie, p. 236.) Il parait avec la qualité de seigneur de Dargies en partie dans un acte du 4 mars 1562. Il mourut à Gauvigny peu avant le 1" octobre 1571.

      • Texte source:

        Antoine De Gaudechart, écuyer, seigneur de Gaudechart, de Bachivilliers, de llotran, de Mesanguy, de Dargies en partie, etc., se maria deux fois
        1° par traité du 7 février 1518 (v. st.) reconnu le 12 devant Jean de Ham et André Bonnet, notaires à Chaumont, avec damoiselle Andrée De Monnay, fille de Jacques de Monnay, écuyer, seigneur de Gauville et de Grandcourt, et de damoiselle Françoise de Poissy, alors remariée à Jean , seigneur de Guiry et du Perchey. (Orig. aux archw. de Saint-Rimault.) Antoine de Gaudechàrt, au droit d'Andrée de Monnay, reçut le 16 novembre 1525, une déclaration de biens tenus des fiefs de Gauville, en la baronnie de Châteauneuf en Thimerais;
        2° avant 1538, avec demoiselle Marguerite Le Brun , fille de Jean le Brun, seigneur de Guitrancourt et de Chaumont, et de Marguerite de Buffevent. Antoine rendit hommage pour sa terre de Gaudechart en 1533. (Preuves de cour.). Marguerite le Brun, veuve d'Antoine de Gaudechart, est nommée dans le procès-verbal des coutumes de Senlis du 16 août 1539, à cause des terres de Villotran et de Mesanguy. (Nouveau coutumier général, par Bourdot de Richebourg, in-folio, 1724, t. II, p. 738.). Antoine de Gaudechart avait eu de sa première femme un fils unique.

      • Texte source:

        Nicolas de Gaudechart, 1er du nom, dit Michaut, écuyer, seigneur de Gaudechart, de Bachivilliers et de Dargies en partie, épousa, par contrat du 27 janvier 1470(v.st.), passé devant Dumont, notaire à Chaumont, damoiselle Marguerite de Fontaines, fille de Guillaume de Fontaines, seigneur de Boury, et de Guillemette de l'Isle-Adam. En contemplation de ce mariage, Nicolas reçut de son père la terre et seigneurie de Hadencourt et la moitié de ce qu'il avait dans la ville de Bachivilliers. (Origin. en parch. au chât. de Querrieu). Le douaire de Marguerite de Fontaines fut hypothéqué par son mari sur la terre de Bachivilliers par acte du 23 janvier 1471 (v. st.). Nicolas de Gaudechart, conjointement avec Gilles, son père, fit donation, par acte du 22 juin 148, reçu par Le Fourbeur, notaire à Chaumont, à sa sœur Jacqueline, de deux fiefs, dont celui de Monchy-le-Châtel, outre la terre du Fayel, qui lui avait été promise par son traité de mariage. {Orig. aux archiv. de Saint-Rimault.). Nicolas de Gaudechart comparut en équipage militaire à l'arrière-ban de la noblesse de Picardie en 1487. Le 15 décembre 1488, Nicolas, dit Collinet de Gaudechart passa un accord avec Antoine de Villiers, seigneur de l'Isle-Adam, au sujet des droits seigneuriaux de Bachivilliers, et, le 8 octobre 1489, il accensa à Jean Fournier, écuyer, demeurant à Bléquincourt, une maison avec jardin et 30 arpents de terre situés audit lieu. (Preuves de cour). Le 20 juillet 1494, Nicolas, dit Michaut de Gaudechart, écuyer, seigneur de Villotran et de Bachivilliers, avoua tenir à foi et hommage de messire Jean de la Vaquerie, chevalier, seigneur de Werquigneul et de Dieudonné, le fief des Aunais, situé à Bachivilliers, et mouvant de la terre de Dieudonné (Arch. du château de Monchy, boite 74e; Trésor de
        D. Villevieille.)

      • Texte source:

        Gilles de Gaudechart, écuyer, seigneur du Fayel, de Villotran, de Mesanguy, de Bachivilliers, de Dargies en partie, paya, le 22 septembre 1444, à Rigaud de Fontaines, chevalier, seigneur de Lavagan, le relief qu'il lui devait pour son fief du Fayel-les-Monchy, du chef de damoiselle Etiennette de Garges, sa femme, à laquelle ce fief appartenait, ainsi qu'à damoiselle Isabelle de Garges, sa sœur; ladite Etienneite était fille de Jean, seigneur de Garges, écuyer, et d'Isabeau de la Neuville. Gilles de Gaudechart est compris dans le dénombrement du comté de Beauvais, en 1448. Il est nommé avec Jean, dit Brunet, son frère, et feu Lionnel de Gaudecbart, leur père, dans l'acte d'amortissement fait, le 9 septembre 1452, par l'abbé de Notre-Dame de Breteuil, d'un fief que Gilles de Gaudechart avait vendu à Guillaume de Hellande, évêque et comte de Beauvais, pair de France, relevant à foi et hommage de l'abbaye de Breteuil. Le 21 février 1461 (v. st.), Gilles et son frère partagèrent les fiefs et seigneuries qui leur étaient échus de la succession de Vincent de Bezu , écuyer, leur cousin-germain, et par acte du même jour, Jean céda à son frère tous ses droits dans cette succession. {Arch. du chât. de. TEspine.). En 1470, Gilles de Gaudechart servait en qualité d'homme d'armes dans la compagnie du maréchal de la Viefville, suivant le rôle d'une revue passée au camp de Dallons, le dernier août de cette année. Il est porté sur le rôle de paiement de cette compagnie le 28 lévrier 1471 (v. st.). Il vivait encore le 22 juin 1481 et mourut avant le 20 mai 1490, laissant de son mariage avec Etiennette de Garges un fils et deux filles.

      • Texte source:

        Mathieu, dit Lionnel de Gaudechart, écuyer, seigneur de Gaudechart, de Vieuvillers, de Bachivilliers et du Fayel, et en partie de Dargies {Terrier de Bachivilliers, dressé en 1541), est mentionné dans un acte du 13 août 1404 , délivré par Guillaume Le Hondoyer, garde de la justice de noble homme Lionnet de Godechart, seigneur de Bachivilliers, en son fief situé à Faël (Fayel) et nommé le fief Huet. [Orig. en parch. au château de l'Espine.). II servit dans les guerres de son temps contre les Anglais , en la compagnie de Raoul, seigneur de Gaucourt, chevalier banneret, suivant la revue qui en fut faite à Lourmaye le 14 août 1415. (Vol. 52 des Titres scellés,M. 3910.) Le 13 janvier 1439 (v. st.), Lionnel de Gaudechart, comme fondé de pouvoir de fligaud de Fontaines, seigneur de Fontaines-Lavagan, chevalier, alors employé au service du roi, releva le fief de la Place de l'abbaye de Saint-Lucien {Archiv. du chapitre de Saint-Lucien, layette Houdivilliers; Mémoires sur le Beauvaisis, fol. 55.) Le sceau de Lionnel, appendu à cette charte, représente 9 merletles en orle. Il avait épousé damoiselle Isabelle de CHANTEMERi.E, dame en partie du Fayel, fille de Guillaume de Chantemerle, bailli de Meaux,et de Jeanne, dame du Fayel, celle-ci fille de Jean, seigneur du Fayel, et de Jeanne de Bachivilliers. Isabelle de Chantemerle fit son testament sous le scel de Saint-Samson de Clermont, reçu par Noël le Bel, curé d'Agnetz, le 26 juillet 1401. Elle fit des legs pieux, entre autres à l'église de Notre-Dame de Gaudechart, légua une partie de ses biens à son mari et institua ce dernier, ainsi que Bonnet de Chantemerle, écuyer, ses exécuteurs testamentaires. (Orig. en parch. au chdt. de TEspine). Mathieu de Gaudechart, dit Lionnel, fit son testament devant Philippe d'Omecourt, prêtre, curé de Sainte-Marguerite de Beauvais, juré de la cour du doyen de Beauvais, le 13 avril avant Pàques 1442. {Orig. en parch. au chdt. de VEspine; Preuves de cour.) Il en remit l'exécution à ses deux fils.

      • Texte source:

        Eustache alias Jean de Gaudechart, IIe du nom, écuyer, seigneur de Gaudechart et de Bachivilliers en partie, fils de Pierre II, épousa damoiselle Jeanne de Fontaines, fille de Jean de Fontaines, chevalier, seigneur de Lavagan et d'Auchy, conseiller et chambellan du roi. On conserve dans les archives du château de l'Espine l'original du testament d'Eustache de Gaudechart du 25 mars 1384. Il y fait des libéralités à l'église de Gaudechart et légua à Mathieu, son fils, la cinquième partie de sa terre. Pierre de Gaudechart, son père, et plusieurs autres seigneurs furent chargés de l'exécution de ses dernières volontés. {Copie visée dans la preuve de cour.) Eustache vivait encore le 4 novembre 1400, date d'une vente de biens fonds que lui fit noble Louis le Tirant, écuyer. (Archives du château de L'Espine.)

      • Texte source:

        Pierre de Gaudechart, IIe du nom, écuyer, seigneur de Gaudechart, appelé Perrinet dans sa jeunesse, servait sous ce dernier nom dans la guerre de Flandre, en 1348, en la compagnie de Guillaume de Coudun, chevalier, puis, en 1350, dans la guerre contre les Anglais, sous le gouvernement de messire Gui de Nesle, sire de Mello, maréchal de France, èsparties de Poitou, Saintonge, Limosin, Angoumois et Périgord, ayant cinq écuyers en sa compagnie, suivant deux quittances de gages qu'il donna sous son sceau (cire rouge, 8 merlettes en orle, 3, 2, 2 et 1), l'une de la somme de 22 livres tournois, datée de Tours, le 1er décembre 1350; l'autre de 12 livres tournois, datée du 22 janvier suivant que l'on comptait encore 1350. (Biblioth. Nationale, Cabinet des Titres et généalogies, lère série des cartons verts, et vol. 53 des Titres scellés, fol. 4055.). Pierre de Gaudechart, écuyer, du diocèse de Beauvais, fut témoin, en 1363, à la donation de l'église et du patronage de Vinemerville, près Cany, diocèse de Rouen, à l'abbaye de Notre-Dame-de-l'Isle, ordre de Prémontré, par Guillaume, châtelain de Beauvais. (Trésor des chartes, chambre des comptes, registre coté XCV, an 1364; Mémoires sur le Beauvaisis, par M. de l'Esperon , fol. 55.). Dans un aveu fourni à l'évêché de Beauvais, le 17 décembre 1384, par Gilles de Clary, écuyer, seigneur de Houdainville, pour ce qu'il tenait en fief à Rotengy à cause du vidamé de Gerberoy, il est dit que le fief tenu par Pierre de Gaudechart à Marseille était mouvant de celui déclaré par Gilles de Clary. La même déclaration fut renouvelée les 27 décembre 1390 et 1er novembre 1393 dans deux autres aveux dudit Gilles de Clary, écuyer, sire de Guyencourt et de Houdainville. (Arch, de l'évéche de Beauvais, vidamé, boîte 29, Rotengy; Trésor de D. Villevieiïle.)

      • Texte source:

        Eustache de Gaudechart, I" du nom, fut présent, avec ses frères et sœurs, à la vente faite par Pierre, leur père, à l'abbaye de Beaupré le 27 février 1308 (v. st. ). Il paraît avoir succédé peu d'années après à Pierre Ier, et avoir eu pour fils et héritier Pierre, IIe du nom, depuis lequel la filiation est littéralement prouvée.

      • Texte source:

        Pierre de Gaudechart, Ier du nom, écuyer, seigneur de Gaudechart, vendit à l'abbaye de Beaupré, par lettres scellées de son sceau, du mardi (27 févr.) après la fête de saint Mathias, apôtre, 1308 (v. st.), une rente de deux mines de blé qu'elle lui devait, du consentement de ses enfants, plus bas nommés. (Cartul. de Beaupré, copie délivrée en 1767; Preuves de cour.). Pierre de Gaudechart eut un litige avec l'abbaye de Saint-Lucien-lès-Beauvais au sujet d'un droit de vente qu'il prétendait sur des terres où s'étendait sa basse justice. L'abbaye le lui contestait en se prévalant du droit de champart sur ces mêmes terres. Cette contestation fut portée devant le bailli de Beauvais, et Pierre de Gaudechart ayant prouvé par témoins que la terre en litige était tenue de lui par Robert de Conteville, écuyer, et que lui-même la tenait en fief de Gerberoy, il fut maintenu dans la possession de ce droit par sentence du jeudi (29 mai) après la Trinité 1309. (Cartul. de Saint-Lucien, fol. 59, verso; copie collationnée sur l'original en 17675; Preuves de cour; Mémoires sur le Beauvaisis, par M. de l'Esperon, fol. 55.)

  2. Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons Souveraines de l'Europe [S00035]
      • Page: année 1858: 209
      • Niveau de confiance: Très haut
  3. Histoire Généalogique et Chronologique de la Maison Royale de France, troisième édition [S00020]
      • Page: 2: 85
      • Niveau de confiance: Très haut
      • Histoire genealogique et chronologique t2
  4. Mémoires de la Société Académique d'Archéologie, Sciences et Arts de l'Oise [S00053]
      • Page: 10: 802 et suivantes
      • Niveau de confiance: Très haut
      • Société Académique de l'Oise t10
      • Page: 18: 176 et suivantes
      • Société Académique de l'Oise t18
  5. Noms et blasons de tous les Chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem du grand prieuré de France [et du grand prieuré de Champagne], avec leurs alliances, depuis l'année 1523 » jusqu'en 1727. [S00117]
      • Page: 68
      • 1604 Charles Bréhier
      • Page: 100
      • 1620 Gaspard de Gaudechart